
C'est un petit bistrot qui ne se la pousse pas du faux col, un rade de quartier comme il n'en existe plus des masses, un rendez-vous des passionnés de l'ovale, des vrais de vrais, pas de ceux qui prennent le train de la mode en marche pour se montrer à Chaban quand il est de bon ton, tant qu'elle gagne, de supporter l'Union. Didier tutoie les Tangos de Lormont depuis toujours, petit mécène, grand coeur, enfant de la rive droite venu poser son sac au 51 rue du Palais Gallien en 1991. De Fédérale en Fédérale le quinze lormontais...
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